Je suis Agnès Largeaud et je vis à Sathonay Village parce que c’est un village super dynamique. En plus, de là-haut, je peux dominer tout Lyon (à défaut de dominer le monde).
A l’origine du commencement, j’ai dressé des robots avant de tripoter des bits pendant plus d’une vingtaine d’années. Ensuite, je suis passée du côté lumineux de la force, ce qui ne m’empêche pas de tenter des expérimentations sur cerveaux humains encore malléables.
En vrai, j’ai commencé ma carrière professionnelle par un doctorat en robotique dans un laboratoire de recherche en informatique médicale. Puis j’ai pratiqué l’informatique à plein de postes et dans plein de domaines différents. Ensuite, j’ai décidé de faire une pause pour me consacrer aux jeux de société (principalement à la création). Je suis ainsi l’autrice de plusieurs jeux édités… chez la concurrence. En parallèle de ça, je me suis lancée dans le soutien scolaire en mathématiques. Pourquoi ? Parce que les maths, c’était l’un de mes jeux préférés quand j’étais petite. Et comme je ne suis toujours pas grande, ça n’a pas changé… Et puis parce que je prends plaisir à partager ce que j’aime pour tenter d’en faire découvrir la beauté et l’intérêt.
Pour moi, les jeux c’est une révélation lorsque je me mets en quête de jeux pour mes enfants et que je découvre cette immense caverne d’Ali Baba. Depuis, c’est une évidence : comment pourrait-on survivre sans jouer ?
Chez Opla, je donne un coup de main au patriarche pour créer des jeux de commande et pour présenter les jeux Opla sur des festivals.
Et sinon, dans la vie en général, j’adore apprendre, découvrir, m’extasier, expérimenter et mettre au point des machins et des bidules.
Pour finir, je tiens à vous dire que celui qui a décidé que les journées ne devaient compter que 24 heures est un gros bêta.